lundi 18 septembre 2017

LA RUEE DES VIKINGS

                                             Photo empruntée sur Google, appartenant au site Notrecinema.com

"Gli invasori" de Mario Bava. 1961. Italie. 1h20. Avec Cameron Mitchell, Alice Kessler, Ellen Kessler, George Ardisson, Andrea Checchi, Jean-Jacques Delbo.

Sortie salles France: 10 Juillet 1963. Italie: 7 décembre 1961

FILMOGRAPHIE:  Mario Bava est un réalisateur, directeur de la photographie et scénariste italien, né le 31 juillet 1914 à Sanremo, et décédé d'un infarctus du myocarde le 27 avril 1980 à Rome (Italie). Il est considéré comme le maître du cinéma fantastique italien et le créateur du genre dit giallo. 1946 : L'orecchio, 1947 : Santa notte, 1947 : Legenda sinfonica, 1947 : Anfiteatro Flavio, 1949 : Variazioni sinfoniche, 1954 : Ulysse (non crédité),1956 : Les Vampires (non crédité),1959 : Caltiki, le monstre immortel (non crédité),1959 : La Bataille de Marathon (non crédité),1960 : Le Masque du démon,1961 : Le Dernier des Vikings (non crédité),1961 : Les Mille et Une Nuits,1961 : Hercule contre les vampires,1961 : La Ruée des Vikings, 1963 : La Fille qui en savait trop,1963 : Les Trois Visages de la peur, 1963 : Le Corps et le Fouet, 1964 : Six femmes pour l'assassin, 1964 : La strada per Fort Alamo, 1965 : La Planète des vampires, 1966 : Les Dollars du Nebraska (non cédité), 1966 : Duel au couteau,1966 : Opération peur 1966 : L'Espion qui venait du surgelé, 1968 : Danger : Diabolik ! , 1970 : L'Île de l'épouvante ,1970 : Une hache pour la lune de miel ,1970 : Roy Colt e Winchester Jack, 1971 : La Baie sanglante, 1972 : Baron vampire  , 1972 : Quante volte... quella notte, 1973 : La Maison de l'exorcisme, 1974 : Les Chiens enragés,1977 : Les Démons de la nuit (Schock),1979 : La Venere di Ille (TV).


Réalisé par le maître du gothisme italien, La ruée des Vikings surfe sur le succès du chef-d'oeuvre de Richard Fleischer, les Vikings avec beaucoup moins de talent. Faute principalement à une intrigue classique non dénuée d'intérêt mais dépourvue de suspense, d'intensité et de surprises. On se rabat alors son sympathique casting plus ou moins impliqué dans les enjeux guerriers, sur sa violence tantôt corsée pour l'époque et sur sa fulgurance formelle dont on remarque bien la patte stylisée du maître (photo flamboyante assortie d'éclairages surréalistes). Dispensable donc surtout venant de la part du maestro mais pour autant distrayant chez les amateurs de curiosité archaïque.

Bruno Matéï

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