(Crédit photo : image trouvée via Google. Utilisée ici à des fins non commerciales et illustratives)
Je ne vais pas mentir : l’univers de OSS 117 n’a jamais été mon trip.
Autant Amer et Laissez bronzer les cadavres, je les vénère aujourd’hui - puisque revus l’été dernier, ils m’ont littéralement envoûté - autant ici, je reste aussi dubitatif que devant L’Étrange couleur des larmes de ton corps, malgré cette même formalité singulière, cette inventivité hallucinée en roue libre qui force le respect.
Reste que, point commun oblige : je n’ai strictement rien compris à l’intrigue complètement éclatée.
En revanche, quel bonheur de retrouver Fabio Testi en septuagénaire d'une classe transalpine impériale.
De toute façon, avec Cattet et Forzani, un seul visionnage ne suffit jamais.
Ils demeurent des maîtres indéfectibles, sans la moindre concurrence.
A revoir donc.

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